The Oases

The egyptian oases

5 jewels to discover with us

Our base-camp : the oasis of Al-Bahariya meaning the oasis of the north is one of the five great oases of the western desert in Egypt (365 km west of Cairo); it is surrounded by black hills composed of quartzite and ferruginous dolomite. Al-Bawiti is the largest village in the Bahariya oasis with around 30,000 inhabitants. 
Notre camp de base : l'oasis d'Al-Bahariya signifiant l'oasis du nord, l'une des cinq grandes oasis du désert occidental en Egypte (365 km à l'ouest du Caire) ; elle est entourée de collines noires composées de quartzite et de dolomite ferrugineux. Al-Bawiti est le plus grand village dans l'oasis de Bahariya avec environ30 000 habitants.

There are also the ruins of a temple built by Alexander the Great at Qasr el-Méguisbeh, northeast of the oasis, when the conqueror passed through Bahariya on his return from the oracle of Ammon-Zeus at Siwa.
Inhabited since the Paleolithic, this oasis produced wine, which was appreciated by the Egyptians in the Middle Kingdom.
Remains of the region:
  • ancient villages (including El Qars and El Bawiti),
  • ruin of a temple of the XXVth dynasty
  • chapel of the pharaoh Apriès (XXVI th dynasty)
  • four decorated chapels from the time of Amasis in Ayn al-Muftillah,
  • Hellenistic tombs,

Il y a aussi les ruines d'un temple construit par Alexandre le Grand à Qasr el-Méguisbeh, au nord-est de l'oasis, lorsque le conquérant est passé par Bahariya à son retour de l'oracle d'Ammon-Zeus à Siwa.
Habitée depuis le paléolithique, cette oasis produisait notamment du vin, apprécié par les Égyptiens dès le Moyen Empire.
Vestiges de la région :
  • 4 villages antiques dont El Qasr et el Bawiti
  • Ruine d'un temple de la XXVème dynastie
  • Chapelle du pharaon Apriès (XXVIème dynastie)
  • 4 chapelles décorées de l'époque d'Amasis à Ayn al-Muftillah
  • Tombes d'époque héllenistique
  • The Al-Farafra oasis is the least populated of the five large oases of the western desert in Egypt.
    It is located in the Libyan desert north of the Ad-Dakhla oasis and southwest of the Al-Bahareya oasis.
    Farafra has nearly 4,000 inhabitants spread mainly in a single village, largely made up of Bedouins and farmers.

    But like the other oases of the western desert, it is currently used as a welcoming land for many Egyptians from the overcrowded Nile Delta. 
    Two kinds of water sources are present there, the hot, suffering waters such as the tourist Bir Setta, and the sources of drinking water. Visit :
    - Farafra castle
    - The Museum of Badr, local artist
    - The fortress
    - Goshna and Gifrin
    - Bir Sitta

    L'oasis d'Al-Farafra est la moins peuplée des cinq grandes oasis du désert de l'ouest en Egypte.
    Elle se situe dans le désert de Libye au nord de l'oasis d'Ad-Dakhla et au sud ouest de l'oasis d' Al-Bahareya.
    Farafra compte près de 4 000 habitants répartis principalement dans un seul village, composés pour une grande part de bédouins et d'agriculteurs.
    Mais comme les autres oasis du désert de l'ouest, elle est utilisée en ce moment comme terre d'accueil pour de nombreux égyptiens venus du delta du Nil surpeuplé.

    Deux sortes de sources d'eau y sont présentes les eaux chaudes soufrées comme la touristique Bir Setta, et les sources d'eau potable. A voir :
    - Le château de Farafra
    - Le Musée de Badr, artiste local
    - La forteresse
    - Goshna et Gifrin
    - Bir Sitta
    The Al-Dakhla Oasis is located 350 km from the Nile Valley, between the oases of Al-Farafra and Kharga and about 900 km from Cairo. The oasis measures approximately 80 km from east to west and approximately 25 km from north to south.
    The city has about 4,000 inhabitants, mainly Bedouins. It is a very picturesque city, symbol of the tradition of Egyptian oases.

    The human history of this oasis began during the Pleistocene; nomadic tribes were installed there, while the Sahara was more humid, allowing access to lakes and marshes. However, experts believe that nomadic hunter-gatherers began to settle almost permanently in the Dakhla oasis during the Holocene period (around 12,000 years ago). But around 6,000 years ago, the whole of the Sahara became drier, with a progressive evolution towards hyper-aridity (less than 50 mm of rain per year). In fact, the drier climate does not mean that there is no more water in what is now known as the Western Desert. The southern Libyan desert is the most important supply of groundwater in the world, and the first inhabitants of the Dakhla oasis had access to surface water sources.

    L'oasis d’Al-Dakhla est une des sept oasis située dans le désert égyptien à111 mètres d‘altitude. Elle est située à 350 km de la vallée du Nil, entre les oasis d‘ Al- Farafra et de Kharga et à environ 900 kms du Caire. L'oasis mesure environ80 km d'est en ouest et environ 25 km du nord au sud.

    La ville compte environ 4 000 habitants, principalement bédouins. C'est une ville très pittoresque, symbole de la tradition des oasis égyptiennes.

    L'histoire humaine de cette oasis a commencé au cours du pléistocène ; des tribus nomades y étaient installées, alors que le Sahara était plus humide, permettant d'avoir accès à des lacs et des marais. Toutefois, les spécialistes pensent que des chasseurs-cueilleurs nomades ont commencé à s'installer presque en permanence dans l'oasis de Dakhla au cours de la période de l' holocène (il y a environ12 000 ans). Mais il y a environ 6 000 ans, l'ensemble du Sahara est devenu plus sec, avec une évolution progressive vers une hyper-aridité (moins de 50 mm de pluie par an). En fait, le climat plus sec ne veut pas dire qu'il n'y a plus d'eau dans ce qui est maintenant connu comme étant le désert occidental. Le sud du désert libyen est le plus important approvisionnement en eau souterraine dans le monde, et les premiers habitants de l'oasis de Dakhla ont eu accès à des sources d'eau de surface.

    The oasis of al-Kharga is located about 200 km from the Nile Valley, it extends over 150 km but its width does not exceed 30 km. This rich oasis has several natural springs and wells whose temperature, which reaches 43 ° C, is reputed to be particularly effective for the treatment of rheumatism and allergies.

    The Egyptians occupied the oases from the Old Kingdom, but it is from the Persian, then Ptolemaic and Roman eras that most of the ancient vestiges discovered to date date, in particular the temple of Hibis, built in great part under Darius 1st.

    The main god of Kharga is Amun, designated by a local name, Amenèbis, "Amon d'Hibis", and represented with his wife, the goddess Mout and the god Khonsou. 
    Visit :
    • the fortress of Ghoueita housing a well-preserved Ptolemaic temple,
    • Qasr el-Zayyan from Roman times,
    • the fortress temple of Nadoura,
    • the Douch necropolis,
    • the Christian necropolis of al-Bagawat from the 5 th to 7 th centuries and its many mud brick chapels,
    • the temple of Hibis.
    • The al-Bagawat Christian necropolis has 263 raw brick tombs, some of which are decorated with biblical-inspired murals.
    • archeology museum.
    L'oasis d'al-Kharga est située à environ 200 km de la vallée du Nil, elle s'étend sur 150 km mais sa largeur ne dépasse pas 30 km. Cette riche oasis comporte plusieurs sources et puits d'eau naturelle dont la température, qui atteint 43°C, est réputée comme particulièrement efficaces pour le traitement des rhumatismes et des allergies.
    Les Égyptiens ont occupé les oasis dès l'Ancien Empire, mais c'est à partir des époques perse, puis ptolémaïque et romaine que datent la majeure partie des vestiges antiques découverts à ce jour, en particulier le temple d'Hibis, édifié en grande partie sous Darius 1er.
    Le dieu principal de Kharga est Amon, désigné sous un nom local, Amenèbis, « Amon d'Hibis », et représenté en compagnie de son épouse, la déesse Mout et du dieu Khonsou.
    A visiter : 
    • La forteresse de Ghoueita abritant un temple ptolémaÏque bien préservé
    • Qasr el Zayyan de l'époque rommaine
    • Le temple de la forteresse de Nadoura
    • La nécropole de Douch
    • La nécropole chrétienne de Al Bagawat des Vème à VIIème siècles et ses nombreuses chapelles en briques
    • Le temple d' Hibis
    • La nécropole chrétienne d'al-Bagawat comporte 263 tombes en brique crue, dont certaines sont décorées de peintures murales d'inspiration bibliques.
    • le musée archéologie.
    Siwa is an oasis in western Egypt on the Libyan border and 850 km from Cairo. It is the most northerly of the Egyptian oases, 300 km from the Mediterranean coast of Marsa Matrouh. Populated by 23,000 inhabitants, we know it has been occupied since High Antiquity. Today, the Berber language is spoken there in its Siwi form, Tsiwit - incorporating about 40% of the roots of the Egyptian dialectal Arabic.

    Siwa is both the name of an oasis region and the central city (suq) of this small Egyptian region located on the Libyan border 70 km from the border. It is the easternmost point of Berber settlement (the tamazgha) and the only one in Egypt, which gives Siwa one of its singularities.

    Located in a depression made fertile by the outpouring of a few hundred artesian sources and continuous human work, Siwa is on the direct edge of the Libyan desert plateau. 
    The landscape cannot be completely described by the mere evocation of the vast expanses of palm groves shading the oasis gardens (or new gardens without tree cover) and the two large depressions lakes fed by the drainage water of a millennial agriculture (where the salts which saturate the water accumulate). The distinctive mark of Siwa, are its two old earth fortresses perched on two inselbergs: shâlî siwa and shâlî aghurmi.

    Siwa est une oasis de l'ouest de l'Egypte à la frontière libyenne et à 850 km du Caire. Elle est la plus septentrionale des oasis égyptiennes s’abreuvant sur les nappes souterraines, à 300 km des côtes méditerranéennes de Marsa Matrouh. Peuplée de 23 000 habitants, on la sait occupée depuis la Haute Antiquité. Aujourd'hui, la langue berbère y est parlée sous sa forme siwi, le tsiwit — intégrant environ 40% de racines de l'arabe dialectal égyptien.

     Siwa est à la fois le nom d’une région d’oasis et de la ville centrale (le suq) de cette petite région égyptienne située aux confins libyens à 70 km de la frontière. Il s’agit du point le plus oriental de peuplement berbère.
    Située dans une dépression rendue fertile par le jaillissement de quelques centaines de sources artésiennes et d’un travail humain continu, Siwa est en bordure directe du plateau du désert libyen. 
    Le paysage ne saurait être complètement décrit par la seule évocation des vastes étendues de palmeraies ombrageant les jardins oasiens (ou de jardins nouveaux sans couvert arborescent) et les deux grands lacs des dépressions alimentés par l’eau de drainage d’une agriculture multimillénaire. La marque distinctive de Siwa, sont notamment ses deux vieilles forteresses de terre juchées sur deux inselbergs : shâlî siwa et shâlî aghurmi.
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